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2 - Optimisation des méthodes de détection en immunofluorescence dans le cadre
de la caractérisation de virus oncolytiques armés

Michèle KLEIN, Sandrine COCHIN, Caroline EBEL, Laurine GAULT, Julie, HORTELANO, Baptiste MOREAU, Juliette. KEMPF, Johan FOLOPPE, Philippe ERBS

Département Oncolyse, Transgene SA, 400 bvd Gonthier d’Andernach, 67400
Illkirch-Graffenstaden, France.

Dans le cadre de développement de nouvelles thérapies innovantes dans le traitement du cancer, Transgene conçoit et développe des virus oncolytiques basés sur le virus de la vaccine. Ces virus démontrent une réplication et une destruction spécifique des cellules tumorales, avec peu ou pas de cytotoxicité au niveau des tissus sains.

Dans le but d’augmenter leur efficacité anti tumorale, ces virus oncolytiques sont armés de gènes codant pour des protéines thérapeutiques telles que des cytokines. Afin de caractériser et de comparer les différents modes d’action de ces virus recombinants, nous avons développé des méthodes de détection par immunofluorescence de nos virus oncolytiques et des protéines thérapeutiques qu’ils produisent.

La mise au point de ces méthodes est parfois complexe et nécessite plusieurs phases d’optimisation permettant de valider le choix et la dilution optimale des anticorps primaires et secondaires afin d’obtenir, par immunofluorescence, un marquage spécifique et robuste. Ces optimisations sont tout d’abord réalisées sur cellules tumorales humaines et murines infectées, cultivées in vitro en μ-Slides puis sur des coupes de tumeurs prélevées à partir de souris préalablement traitées par les virus.

Une fois validées sur différents modèles précliniques, les conditions optimisées sont appliquées sur des biopsies de tumeurs humaines infectées ex vivo par nos virus oncolytiques afin d’évaluer et de comparer l’activité thérapeutique de nos différents candidats

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